Depuis 18 ans, ce groupe toulousain espiègle ne se lasse pas de n’en faire qu’à sa tête. Armé d’une batterie, d’une contrebasse, d’un accordéon et d’un saxophone, il malaxe funk, jazz, musique des Balkans, électro, musette, rock progressif… pour créer une musique polymorphe et sans frontières. Avec plus de 600 concerts au compteur, Pulcinella est un véritable groupe de scène, il s’est notamment produit dans de prestigieux festivals comme Jazz in Marciac, le Festival Radio France, Rio Loco, Jazz sous les Pommiers, le London Jazz Festival, le Festival d’Odessa… Il a sillonné les routes d’une vingtaine de pays comme le Honduras, le Guatemala, la Bulgarie, le Tadjikistan, la Moldavie, la Colombie, l’Inde et même le Viêt Nam pour y fêter les 1000 ans de la capitale Hanoï !
Gourmand de rencontres, le quartet aime collaborer avec d’autres artistes. Outre ses créations avec des musiciens (Émile Parisien, Leïla Martial, Andreas Schaerer, Hervé Suhubiette…), il aime se frotter à d’autres domaines artistiques. Il réalise la musique de pièces de théâtre et de ciné-concerts, collabore avec des danseurs, illustre des lectures de textes, accompagne des numéros de cirque… Il créé Le Grand Déballage (bal à facettes futuriste où s’entrechoquent mazurka, afrobeat, valse et autres merengue) en 2017 et commence une nouvelle aventure musicale avec la chanteuse italienne Maria Mazzotta en juin 2019. Par ailleurs, il sort son 6ème album en formation quartet intitulé Ça (sur le label hongrois BMC) en septembre 2019 et monte en parallèle un nouveau répertoire avec le trio (voix/percussions) colombien La Perla.
Cet hyperactif à la tchatche imparable embrasse un bec de sax pendant son enfance. Le début d’une véritable histoire d’amour, en témoigne son jeu vif et charnel qui lui ouvre les portes du monde du jazz à travers plusieurs formations (les Headbangers, Initiative H…) dont il cofonde certaines (Pulcinella, la Face cachée des sous-bois, Mowgli…).
Ce fana de musique afro-américaine (un blind testeur hors pair !) participe à différents projets soul et monte un hommage à Herbie Hancock.
Avide d’expériences, il enregistre aussi pour des artistes de tous bords (de Psykup à Art Mengo !).
Florian aime jouer à cache-cache avec ses claviers, laissant tantôt filer ses mains sur son accordéon, pour rebondir ensuite sur les touches de son orgue Elka. Une jonglerie livrant un jeu céleste, composant entre musiques de bals, balkaniques ou improvisées.
Une rêverie dans laquelle il s’est laissé entrainer depuis son plus jeune âge, jalonnée de rencontres avec lesquelles il complète son apprentissage (Serge Doat, Marius Manole du Taraf de Haïdouks, Denis Badault…), et donne corps à des nouveaux projets circassiens au sein du Circ’hulon, et musicaux (avec Bey Ler Bey et Étreinte, son premier album solo).
Pierre manie les baguettes depuis ses études (école Agostini, CNR de Toulouse et Montpellier…). Son jeu sanguin, à fleur de peau et martial fait naître des collaborations auprès de Hermeto Pascoal, Emmanuel Bex, Michael Attias, David Haudrechy ou encore Enzo Cormann…
Ce phobique de l’ennui et son besoin urgent de se renouveler l’amène à cofonder le groupe Mowgli et lui font faire des pas de côté dans le monde des arts du cirque avec le Collectif Petit Travers.
Sa contrebasse pourrait être presque trop grande pour lui. Mais c’est en parcourant ses cordes que Jean-Marc prend toute sa hauteur. Sous sa mine discrète, ce traveller tend une oreille à tout ce qui croise son chemin. À la suite de ses études au Musician Institute of Technology de Los Angeles et 6 ans passés à São Paulo, il collecte de multiples influences où se rencontrent musique brésilienne, blues, salsa, jazz manouche, funk ou encore flamenco…
Il apprécie aussi passer par des chemins de traverse en enregistrant avec Bernard Lavilliers ou en travaillant avec la compagnie de théâtre Mesdames A.